Vous connaissez l’histoire ? Dieu a décidé de distribuer l’intelligence, la sagesse et la bêtise parmi les gens. Il a mis chaque caractéristique dans un sac à part et les a confiés aux anges pour qu’ils volent au-dessus de la terre et qu’ils les dispersent équitablement. Mais malheureusement le sac, rempli de bêtise s’est déchiré par hasard au-dessus d’un petit village et tout le contenu est tombé sur ses habitants. Toute la quantité de bêtise destinée à l’ensemble de l’humanité sur quelques centaines d’hommes. Vous pouvez imaginer l’effet ?
Par exemple l’un des habitants voulait aller dans la ville et avant de s’endormir dans les bois il a mis ses bottes dans la direction de la ville pour ne pas oublier son chemin. Mais pendant son sommeil un renard a tourné ses bottes dans l’autre direction. Après son réveil il s’est mis en route et il s’est étonné quand il est arrivé dans un village qui était exactement comme le sien. Même quand il voyait que ce village « inconnu » portait le même nom que le sien, il n’a fait que constater que le monde était pareil partout.
On pourrait dire que des villages comme celui-ci n’existent que dans les contes pour enfants. Mais non, il existe une telle ville en Europe. Son nom est Bruxelles. Le sac de la bêtise s’est déchiré au-dessus de Bruxelles. Et Bruxelles, comme nous le savons, est le centre de l’Union Européenne. Un renard rusé a dû tourner les bottes là-bas aussi dans la direction opposée et maintenant l’Union se tourne contre soi-même et contre la population des pays de l’Union Européenne qui était confiée à ses soins. Elle ne les reconnait pas, elle les considère comme ses ennemis.
Le Covid et le vaccin n’étaient pas suffisants, elle les affame, elle provoque qu’ils prennent froid, elle les rend malades. Mais pourquoi cela ? Pour qu’elle s’approvisionne non pas de la Russie mais d’autre part, de l’outre-Atlantique du gaz et du pétrole à un prix exorbitant. Et elle prend la responsabilité d’exclure de l’Europe un pays qui fait partie de l’Europe aussi et de vouloir marginaliser tout le monde qui appartient à ce pays. Comme nous le savons, il s’agit de la Russie. Quelle était la taille de ce sac ? Il paraît qu’il était grand et tout qui était dedans en est tombé au-dessus de Bruxelles.
Est-ce que nous devons à présent analyser sur notre blog, le 7eme-art.fr le film intitulé La Somme de toutes les peurs (film de Phil Alden Robinson, sorti en 2002 avec Ben Affleck et Morgan Freeman) pour que nous trouvions d’où vient le problème ? Le problème ne vient pas de tel ou de tel pays, qu’il soit en outre-Atlantique, ou qu’il se trouve entre l’Union et la Russie, mais il vient de la cécité et de la bêtise qui sont déversées non pas par un pays concret mais par certains groupes vers les dirigeants élus du monde qui admettent malheureusement cette bêtise, ils veulent même la faire accepter par la population européenne.
Ils se sont installés autour de la table des négociations et ils ont établi que s’ils mettent en place des sanctions, la Russie va être contrainte de s’agenouiller. Résultat : les sanctions furent, la Russie ne s’est pas agenouillée mais elle devient de plus en plus forte, et c’est l’Europe qui se voit obligée de s’agenouiller pas à pas. Nous n’allons pas énumérer ici les sanctions, tout le monde les connait.
Frau von der Leyen regarde les sanctions comme Chaplin regardait les écrous. Un adorable petit vaudeville. Chaplin travaillait dans une usine, il avait comme tâche de serrer les écrous avec deux clés. Serrer les écrous lui est devenu un réflexe à tel point qu’en voyant le manteau à double rangée de boutons d’une dame qui marchait tranquillement dans la rue, il lui courrait après parce qu’il croyait qu’il devait serrer ses boutons aussi.
Frau von der Leyen semble arriver là, si elle voit quelque chose de russe, elle veut tout de suite met en place des sanctions contre. Mais son « vaudeville » n’est pas si drôle comme celui de Chaplin, cela tourne plutôt à la tragédie parce que le destin, la vie des gens en dépendent.
Il serait bien de voir enfin à la tête de l’Union des dirigeants qui tiennent compte des intérêts de la population. Et ils tiennent également compte des dispositions naturelles de l’Europe et ils tablent sur cela. Il faudrait mettre fin à la phobie de considérer ceux qui défendent la Russie comme s’ils étaient les ennemis de l’Ukraine. Ce n’est pas vrai, c’est une idée reçue matraquée par ceux qu’ils veulent faire durer le conflit. Celui qui défend aujourd’hui la Russie, défend également l’unité de l’Europe. La population de l’Europe veut mener une vie heureuse et paisible – ensemble, quelque soit la région où elle vit, quelque soit la nation à laquelle elle se dit appartenir.
Est-ce qu’il est encore possible de raccommoder ce sac ? Mais comment ramasser toute cette bêtise ?